Istanbul, 24 février, AZERTAC La conférence internationale portant sur le thème « Décolonisation : le début de la Renaissance », organisée par le Groupe d’initiative de Bakou (GIB) à Istanbul, s’est poursuivie avec des panels.Les panels se sont penchés sur les thèmes « Les impacts de la colonisation sur l’identité nationale » et « Les barrières juridiques artificielles imposées par le gouvernement français pour la décolonisation à l’époque de la Renaissance ».Les discussions ont porté sur un large éventail de sujets tels que les impacts du colonialisme sur l’identité nationale, la création de barrières juridiques artificielles par le gouvernement français, la discrimination ethnique et culturelle dans ces régions, l’instabilité politique, les conflits, les défis sociaux et économiques, le harcèlement médiatique, les arrestations arbitraires, la sécurité, la migration, les frontières, les ressources et les biens nationaux, les droits de l’homme, la justice et la citoyenneté.La conférence a réuni 50 représentants de 13 pays et 5 organisations internationales, dont des délégués des territoires d’outre-mer sous domination française telles que la Nouvelle-Calédonie, la Polynésie française, la Guyane française, la Martinique et la Guadeloupe.