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Réglage

Clôture de la troisième édition des Journées internationales ouvertes de l’ICESCO

Bakou, 31 janvier, AZERTAC

La troisième édition des Journées internationales de l’Organisation du Monde Islamique pour l’Éducation, les Sciences et la Culture (ICESCO) ont clôturés ses travaux dimanche 28 janvier. Étalée sur quatre jours, cette édition a été tenue par le Réseau ICESCO des chaires internationales pour la pensée, les lettres et les arts, en partenariat avec l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, et en coopération avec la Chaire ICESCO pour les arts, les sciences et les civilisations de l’Université Euromed de Fès (UEMF) au Royaume du Maroc, selon le site web de l’ICESCO.
Le premier jour des Journées ouvertes a été marqué par la tenue d’un colloque international au siège de l’UEMF, intitulé « Les liens et les relations entre l’environnement et les technologies ». Â l’entame du Colloque, Dr Mohamed Zinelabidine, Chef du Secteur de la Culture et de la Communication de l’ICESCO, a passé en revue les rôles dévolus au Réseau ICESCO des chaires internationales pour la pensée, les lettres et les arts, et souligné les objectifs poursuivis par ledit Réseau, mettant en avant ses huit chaires opérant dans les différents domaines humanitaires, philosophiques, littéraires, civilisationnels et africains, réparties dans plusieurs pays arabes, africains, européens et latino-américains. Dans le même jour, l’ICESCO a participé au colloque de l’UNESCO sur les politiques culturelles pour le développement durable à Paris.
Le deuxième jour s’est distingué par le lancement des activités de l’incubateur de projets culturels « Ebda3 », conçu par l’ICESCO en partenariat avec l’Agence Universitaire de la Francophonie (AUF) en Afrique du Nord. Cet incubateur se dédie à encadrer les projets axés sur « l’intelligence créative », de plus de quatre-vingts (80) jeunes de la Tunisie, du Maroc, de la Libye et de la Mauritanie. Son ultime objectif est de soutenir 45 projets novateurs sur une période d’un an, par le biais de la formation, la qualification et le renforcement des capacités des jeunes, en vue de créer et de soutenir des start-ups opérant dans les domaines des industries créatives et de l’économie culturelle numérique.
Quant au troisième jour, une séance de travail a eu lieu à Rabat entre le Réseau ICESCO pour la pensée, les lettres et les arts, et l’Université Paris 1-Panthéon-Sorbonne, représentée par le Centre d’étude des techniques, des connaissances et des pratiques (CETCOPRA), avec la participation de Dr Caroline Moricot, Vice-présidente de l’Université. Il a été convenu de former une équipe de recherche et d’études communes entre l’Organisation et l’Université dans les domaines d’intérêt mutuel.

Societe 2024-01-31 10:54:00