Bakou, 20 octobre, AZERTAC Nous restons fidèles aux engagements dans le cadre des contacts avec nos partenaires. Depuis le début et dans le processus de négociations sur le règlement du conflit, nous nous sommes toujours appuyés sur le droit international, sur notre dévouement au règlement du conflit par des moyens pacifiques, y compris les engagements pris par l'Azerbaïdjan après les pourparlers de Moscou, ce à quoi nous aspirions et que nous allions mettre en œuvre », a déclaré le président Ilham Aliyev en répondant à une question sur le cessez-le-feu lors de son interview à l'agence de presse russe TASS.Evoquant que l'Arménie avait violé de manière flagrante le cessez-le-feu, le chef de l'État a dit : « Moins de 24 heures après les pourparlers, la ville de Gandja a été attaquée. Les quartiers résidentiels de la ville endormie ont été délibérément pris pour cible. Après la première attaque - et là étaient deux d'entre eux - le nombre de morts était très élevé. En d'autres termes, l'Arménie a violé le cessez-le-feu d'une manière provocante. Ainsi, il a fait preuve d'un manque de respect pour les médiateurs, d'un manque de respect pour les engagements qu'il avait pris après de si longues négociations à Moscou ».« L'Arménie violait le cessez-le-feu même avant, sur le champ de bataille après la négociation du cessez-le-feu humanitaire. Cependant, ils ne s’en sont pas contentés et ont donc attaqué la ville de Gandja. Il y a deux jours, ils ont fait la même chose et encore la nuit. C'est un crime très odieux. C'est du terrorisme international. La condamnation unanime de ce crime sanglant par la communauté mondiale signifie que les Arméniens vont le payer très cher. Le Secrétaire général de l'ONU, l'Union européenne et de nombreux pays, au niveau national, ont condamné cet acte de terrorisme international », a précisé le président de la République.